DJ TOX

l’autodidacte sans limites
Né d’une mère réunionnaise et d’un père métropolitain, Anthony grandit à Épinay-sur-Seine. Jeune collégien, Anthony était si passionné par le basket que ses amis le considéraient comme un drogué de la discipline. S’il n’était pas à l’école, il était forcément sur un terrain. Surnommé ainsi le « Toxico du basket », il a conservé la base du blaze et a donc pris « Tox » pour nom de scène. Une fois au lycée, il découvre la musique, plus précisément le mixage, avec ses amis dont une bonne partie est issue de la diaspora antillaise.

Rapidement, le jeune homme s’initie aux platines pour ne plus jamais les quitter. Ainsi, au sortir du lycée, il commence à mixer lors de soirées et de petits événements locaux.
Foncièrement éclectique, il écoute et passe de tout : de la dance des années 90 au hip-hop US en passant par le zouk ou la pop. Totalement autodidacte, il apprend via des tutoriels sur le net. De fil en aiguille, il se rend compte que mixer les sons des autres, c’est bien mais que les créer, c’est encore mieux alors, il se spécialise dans la composition musicale pure et se fait rapidement remarquer par les stars nationales à l’instar de nombreux rappeurs, d’artistes antillais ou d’Aya Nakamura.

Résident réunionnais depuis quatre ans maintenant, il collabore avec la crème des artistes locaux : Benjam, Ségaël, T-Matt et même Danyèl Waro… et se rapproche de Benjam il y a quelques mois afin de disposer d’un cadre structuré et d’un réseau influent. Confiant et fort d’une expérience de plus de 20 ans, à aujourd’hui 34 ans, DJ Tox a pour objectif professionnel d’exporter sa musique partout dans le monde.

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